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lundi 27 décembre 2010

Un grand degré d'instruction , et l'absence de misère ne sont pas un antidote contre l'extremisme réligieux comme le démontre un sondage auprès de musulmans dans 30 universités britanniques


32% des étudiants musulmans britanniques admettent de tuer au nom de l'islam, et 40% veulent appliquer la charia. Selon un sondage effectué dans 30 universités en Grande-Bretagne, le corps étudiant des jeunes musulmans dans ce pays est extrêmement radicalisé.
Le sondage a questionné  600 étudiants musulmans et 800 de leurs pairs non-musulmans sur des sujets politiquement délicats comme l'homicide au nom de l'islam et l'établissement de la charia,  et les résultats s'avèrent radicalement différents selon ces deux catégories. Alors que presque personne dans l'échantillon des non-musulmans accepte de tuer au nom de la religion, un tiers de tous les étudiants musulmans sondés a soutenu cette "proposition".
Cette confirmation de l'extrémisme et de la violence mortelle chez les jeunes musulmans de Grande-Bretagne est aussi une indication de l'échec total de la société britannique à la fois à intégrer ainsi qu'à  mieux contrôler ses communautés musulmanes. Le mot «Londonistan» souvent utilisé pour symboliser  l'extrémisme islamique présent dans la capitale,  parait déjà dépassé vu l'ampleur du phénomène qui touche l'ensemble du territoire.
Ce sondage terrifiant a été révélé par Wikileaks, issu d'un câble diplomatique du 6 janvier 2009 émanant de l'ambassade américaine à Londres. D'autres résultats  de l'enquête sont également inquiétants. Par exemple, plus de la moitié de tous les étudiants musulmans britanniques insistent pour être représentés par un parti politique fondé sur l'islam. [...]

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