Jerusalem Post
Le leader du Hezbollah a affirmé que son mouvement "coupera la main" de toute personne qui tentera d'interpeller un membre du parti chiite, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri.
Hassan Nasrallah a déclaré, lors d'un discours, que son mouvement n'acceptera aucune accusation d'implication de combattants ou de dirigeants du Hezbollah dans l'assassinat commis en février 2005 à Beyrouth.
Il a déclaré, sans entrer dans les détails, que le groupe se défendrait.
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